De l’art militaire – Végéce-IVe siècle :
« Pour éviter les surprises, l’assiégé doit se redoubler de vigilance, placer sur les murs et dans les tours des guérites où les sentinelles soient à l’abri des injures de l’air. Il est aussi d’usage de faire coucher dans les tours des chiens d’un odorat fin et subtil, qui, sentent l’ennemi de loin, aboient à propos ».
Bonaparte en 1799 : « On devrait disposer à Alexandrie d’un grand nombre de chien mis à l’attache non loin des murs de la ville »
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